Sortie DVD le 9 Octobre 2007
Monday, Tuesday, Happy Days !
Une des sitcoms les plus connues au monde pour la première fois en DVD.
Trente ans après la série arrive en DVD
De Garry Marshall
avec Henry Winkler, Ron Howard, Anson Williams, Marion Ross, Tom Bosley
Durée: 5h52
Audio: Français mono, Anglais Mono
Vidéo 1,33 (4/3)
Film couleur sous-titre Anglais, Français
Editeur: PARAMOUNT HOME ENTERTAINMENT
Le 22 août 1976, en pleine période disco, apparaissait à la télévision française une série devenue aussi culte qu'intemporelle dont l'action se situait 20 ans auparavant : un phénomène culturel et international dépeignant les années 50 : Happy Days !! Les Fifties et leur univers acidulé, des personnages inscrits dans l'inconscient collectif (Fonzie, Richie, Ralph, Potsie, les Cunningham...), une musique inoubliable, 11 saisons, autant d'années d'audiences au top, et quatre séries dérivées et même 2 dessins animés qui ont fait de ce show un must incontournable ! Dans l'Histoire des séries, Happy Days a obtenu son statut culte et mythique en réunissant une multitude de talents exceptionnels ! Qui aurait pu prévoir que la douce vie de la famille américaine type des années 50, les Cunningham, vue à travers le regard de leur fils Richie, sage adolescent, allait devenir une des séries les plus populaires de la télévision mondiale et rester gravée dans l'inconscient collectif alors que la terre entière ne jurait lors de son lancement en 76 que par les pistes disco, la libération des moeurs et les paillettes ?
Une série au succès si phénoménal qu'elle se déclina sur trois autres formats. La série remporta une flopée de récompenses : 2 Golden Globe, 5 Emmy Awards, 18 nominations aux Emmy Awards. Henry Winkler, nominé trois années de suite aux Emmy de 1976 à 1978, repartira bredouille. Mais nommé une seule fois aux Golden Globe, il repartira avec le précieux trophée en 1978.
Une série au succès si phénoménal qu'elle se déclina sur trois autres formats. La série remporta une flopée de récompenses : 2 Golden Globe, 5 Emmy Awards, 18 nominations aux Emmy Awards. Henry Winkler, nominé trois années de suite aux Emmy de 1976 à 1978, repartira bredouille. Mais nommé une seule fois aux Golden Globe, il repartira avec le précieux trophée en 1978.
Liste des épisodes:
- Échec ou mat
- La Première Bagnole
- La Première Cuite de Richie
- Une visite inattendue
- Le Festival rock
- Le Club des Démons
- Fonzie vient dîner
- Nuit au palace
- Une rupture difficile
- Qui perd gagne
- Rendez-vous surprise
- Le Tatouage de Richie
- Richie et les beatniks
- Le Garçon d'honneur
- De la bagarre dans l'air
- Un homme prudent
LES TALENTS HAPPY DAYS
Garry Marshall, scénariste et producteur est à l'origine de cette série. L'idée est née d'un épisode qu'il écrivit en 1971 pour une sitcom appelée Love, American Style, relatant la vie d'une famille américaine type des fifties. Lucas s'en inspira pour son premier succès de 1973, American Graffiti. Il multiplie les réussites notamment en découvrant Julia Roberts dans Pretty Woman ou en réunissant un autre couple mythique à l'écran, Michelle Pfeiffer et Al Pacino dans Frankie & Johnny. Sa patte est devenue légendaire : les comédies qu'il met en scène alliance de nostalgie, de romance, d'ironie et d'un humour faisant toujours mouche, sont toujours des succès. Une recette qu'il réutilisera avec bonheur dans Just Married (ou presque) réunissant de nouveau Richard Gere et Julia Roberts, 10 ans après avoir créé leur couple mythique à l'écran. Ses personnages ont en permanence un regard plein de douceur sur leur environnement et le monde qui les entourent, malgré leur ironie apparente. Good Bye Grey Sky, Hello Blue ! Le rock dans tous ces états ! Le symbole de cette série culte, c'est les deux génériques qui encadrent la série avec deux musiques connues à travers le monde et reconnues comme des classiques intemporels. Happy Days tout d'abord, chanson écrite par deux compositeurs de génie : Charles Fox et Norman Gimbel, créateur de plusieurs classiques dont le fameux Girl From Ipanema réutilisé dans de nombreux films dont Shrek. Mais celle qui a marqué à jamais les esprits, c'est surtout le Rock Around The Clock de Bill Haley and the Comets, monument de la musique mondiale écrit en 1953 par Bill Haley lui-même, et qui ouvre la série. À l'origine, ce fut un échec commercial. C'est en 1954, un an plus tard, que le titre apparaît dans le film Graine de Violence de Richard Brooks (La Chatte sur un toit brûlant) avec Glenn Ford et Sidney Poitier, pour le propulser en haut des charts et en faire un hit planétaire, une véritable révolution musicale qui lança un son nouveau et traça la voie à de nombreux artistes dont le plus célèbre d'entre tous, Elvis Presley. Vingt ans plus tard, Happy Days, avec l'utilisation de ce morceau, ne fit que transmettre à de nouvelles générations cet esprit Rock'n Roll et la pérennité du style. Fonzie EST la « coolitude ! Fonzie est à l'instar de la série l'incarnation culte d'un état d'esprit ! Celui qui n'était prévu à la base que pour être un personnage secondaire, voire un figurant, allait devenir au fil des épisodes le coeur de la série. Avec une dizaine de lignes de texte dans le premier épisode, personne ne pouvait prévoir que Henry Winkler, alias Arthur “Fonzie” Fonzarelli, allait traverser la décennie que dura la série et en resterait le pilier indéboulonnable par lequel se fit sa gloire. Le personnage devint si populaire que ABC, diffuseur de la série, voulut même la renommer Fonzie's Happy Days puis tout simplement Fonzie, mais Garry Marshall et Ron Howard s'y opposèrent farouchement et obtinrent gain de cause. Bien que le casting de base évolua au fil des années, voyant les membres de la famille Cunningham disparaître du show, les audiences ne faiblirent jamais sans doute grâce à la présence permanente de Fonzie et ses deux pouces levés dans le casting. Et bien que les années passent, chaque apparition cinématographique ou télévisuelle de Henry Winkler (Scream, MacGyver, New York Unité Spéciale) devenu aujourd'hui également producteur, nous transporte irrémédiablement dans les années 50. Richie ou quand la gentillesse mène aux portes de la gloire Richie Cunningham est un jeune homme bien sous tout rapport, adulé par l'Amérique puis le monde entier, interprété par un adolescent au regard poil de carotte, Ron Howard qui débuta sa carrière à l'âge de 18 mois et traversa le paysage audiovisuel mondial dans des séries aux noms évocateurs telles que Denis la Malice, Lassie puis Happy Days. Avec le rôle de Richie Cunningham, il confirme une carrière prolifique avec cette interprétation de fils vertueux et d'ami fidèle, découvrant les joies et les turpitudes qui mènent à la vie d'adulte. Un an avant d'incarner le fils Cunningham pour la télévision, il jouait déjà dans un film à la saveur similaire, American Graffiti, réalisé par une autre grande figure du cinéma, George Lucas. Lorsqu'il décide de suivre les traces de son aîné et se tourne vers le métier de réalisateur, son génie créatif explose en mettant en scène des blockbusters tels que Cocoon, Horizons Lointains, Apollo 13, ou dernièrement Da Vinci Code. Le saviez-vous ? -
Fonzie (Henry Winkler) a toujours détesté les motos et ne supportent pas les blousons en cuir et les T-shirts blancs. Au sommet de sa popularité, on avait lancé une gamme de vêtements Fonzie Son poster, vendu entre 1974 et 1978 a rapporté plus d'argent que celui de Farah Fawcett à l'époque des Drôles de dames.
Anson Williams (Potsie) s'est aussi lancé dans la réalisation de films. Avec beaucoup de moins de succès que Ron Howard !
Tom Bosley, le papa Cunningham, a 80 ans. Il tourne toujours et a connu un autre succès entre 1987 et 1991 avec « The father Dowlings mysteries » dans lequel il incarnait un prêtre détective.
Marion Ross, la maman Cuningham a toujours bon pied, bon oeil. A 79 ans, elle enchaîne comédies musicales (son premier métier) et téléfilms. La chaîne britannique ITV a tourné un remake en téléfilm : Head over heels en 1993. Ce fut un bide !
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