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Réalisateur et scénariste françaisNé à Bures-sur-Yvette, Michel Leclerc débute comme monteur puis réalisateur pour Télé Bocal, une télévision libre et engagée politiquement. C'est par le court métrage qu'il commence la réalisation. Il débute avec le film d'animation "Le Test Robert", avant d'émailler sa carrière d'essais en prise de vue réelle dans les années 1990, souvent en compagnie de Sabine Casanova.
Toujours avec Sabine Casanova, il poursuit avec "Le Mal en patience", inspiré par Roland Barthes. Il rend ensuite hommage à Demy dans "La Valse des étiquettes", tourné dans un supermarché.
En 2001, Il est auteur-compositeur-interprète, dans le groupe musical "Minaro" dont plusieurs chansons figurent dans sa bande originale. En 2002 il écrit et réalise le court-métrage "Le Poteau rose", le film est projeté dans plusieurs festival et il est primé à Cannes. Ce cout métrage, basé sur des documents réels mêlés à des images de fiction, est diffusé sur Canal + et lui permet de rencontrer Baya Kasmi, qui devient sa compagne et sa co-scénariste.
Il participe ensuite à la série "Mes Pires Potes" comme auteur et écrit quelques épisodes de la série télévisée "Âge sensible", autour d'étudiants vivant dans la même cité universitaire. Il passe ensuite à l'écriture de long métrage, avec "La Tête de maman" de Carine Tardieu
En 2006, il écrit et réalise son premier long-métrage "J'invente rien", une comédie romantique sur un homme oisif, aspirant inventeur qui cherche à reconquérir avec sa femme, interprétée par Kad Merad et Elsa Zylberstein.
Il est aussi chroniqueur de télévision, pour des rubriques sur France 3 et Canal +: dans "C'est ouvert samedi" et "Nulle Part Ailleurs" sur Canal +, et dans "Mon Kanar" sur France 3.
En 2010, il se fait véritablement connaitre avec son second long métrage, la très pertinente comédie politique "Le Nom des gens" avec Jacques Gamblin et Sara Forestier, autour de l'ingérence de l'opinion politique dans la vie privée. Il est couronné par le César du Meilleur scénario original.
En 2012, il reste dans le même registre avec "Télé Gaucho", sur la vie d'une télé locale et indépendante, dans les années 90, dirigée par des anarchistes, provocateurs de la première heure, prêt à faire la révolution. Pour ce projet il fait de nouveau appel à Sara Forestier, sans oublier Félix Moati, Eric Elmosnino, Maïwenn et Emmanuelle Béart.
En 2001, Il est auteur-compositeur-interprète, dans le groupe musical "Minaro" dont plusieurs chansons figurent dans sa bande originale. En 2002 il écrit et réalise le court-métrage "Le Poteau rose", le film est projeté dans plusieurs festival et il est primé à Cannes. Ce cout métrage, basé sur des documents réels mêlés à des images de fiction, est diffusé sur Canal + et lui permet de rencontrer Baya Kasmi, qui devient sa compagne et sa co-scénariste.
Il participe ensuite à la série "Mes Pires Potes" comme auteur et écrit quelques épisodes de la série télévisée "Âge sensible", autour d'étudiants vivant dans la même cité universitaire. Il passe ensuite à l'écriture de long métrage, avec "La Tête de maman" de Carine Tardieu
En 2006, il écrit et réalise son premier long-métrage "J'invente rien", une comédie romantique sur un homme oisif, aspirant inventeur qui cherche à reconquérir avec sa femme, interprétée par Kad Merad et Elsa Zylberstein.
Il est aussi chroniqueur de télévision, pour des rubriques sur France 3 et Canal +: dans "C'est ouvert samedi" et "Nulle Part Ailleurs" sur Canal +, et dans "Mon Kanar" sur France 3.
En 2010, il se fait véritablement connaitre avec son second long métrage, la très pertinente comédie politique "Le Nom des gens" avec Jacques Gamblin et Sara Forestier, autour de l'ingérence de l'opinion politique dans la vie privée. Il est couronné par le César du Meilleur scénario original.
En 2012, il reste dans le même registre avec "Télé Gaucho", sur la vie d'une télé locale et indépendante, dans les années 90, dirigée par des anarchistes, provocateurs de la première heure, prêt à faire la révolution. Pour ce projet il fait de nouveau appel à Sara Forestier, sans oublier Félix Moati, Eric Elmosnino, Maïwenn et Emmanuelle Béart.L'année suivante, il revient à la télévision pour un projet très suivi : il est en effet nommé responsable créatif de la saison 7 de la populaire série familiale "Fais pas ci, fais pas ça", aux côtés de la scénariste Cathy Verney. Il co-écrit et réalise les premier (tourné en partie en Guadeloupe) et troisième épisode. Cette saison est nommée aux International Emmy Awards en 2015.
Il repart au cinéma dans la foulée : en 2015, sort son quatrième long-métrage, la comédie dramatique "La Vie très privée de Monsieur Sim". Il co-signe le scénario avec Baya Kasmi et dirige le rare Jean-Pierre Bacri, interprète du rôle-titre, et se voit nominé aux Césars.La même année, il est aussi co-scénariste du premier long-métrage de Baya Kasmi, "Je suis à vous tout de suite".
En 2016, il revient à "Fais pas ci, fais pas ça" pour sa dernière saison. Il écrit et réalise les deux derniers épisodes de la série. Le tournage s'achève en septembre, et la diffusion annoncée pour février 2017.
Photos: Thierry Vaslot (A.C.R.)
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