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| LA FABRIQUE DES SENTIMENTS |
| Rencontre avec le réalisateur et Elsa Zilberstein |
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SELECTION DANS LA SECTION PANORAMA DU 58ème FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM DE BERLIN 2008
Sortie: le 06 Février 2008
Film français réalisé par Marc Moutout - Titre original: La fabrique des sentiments - Comédie dramatique – 1h44 - Distributeur: Les Films du Losange - VU
RENCONTRE Ciné-Zoom avec le réalisateur et avec Elsa Zylberstein au Renoir à Aix en Provence.
Avec: Elsa Zylberstein, Jacques Bonnaffé, Bruno Putzulu, , Hiam Abbass, Anne-Katerine Normant, Jean Segani, Octave Novel, Josiane Stoléru, Nathaly Coualy, Gérard Watkins, Marceline Loridan-Ivens, Scali Delpeyrat, Serge Renko, Eric Bougnon, Carole Baillien, Marie-Pierre Chaix, Mariane Plasteig, Annick Christians, …
Musique originale de Silvain Vanot
Site officiel: http://www.lafabriquedessentiments.com
L'histoire: Une jeune femme 36 ans, est clerc de notaire et vit à Paris. Jeune femme belle et brillante, elle est cependant toujours célibataire. Pour briser sa solitude, elle décide de s'inscrire à des speed-dating. Après tout, ne s'agit-il pas là aussi d'être efficace et rapide ? 7 hommes, 7 femmes, 7 minutes pour séduire. Puis le gong retentit...
Par ailleurs, elle s'inquiète pour sa santé quand son corps la désavoue. Elle a le sentiment que le bonheur lui échappe. Elle qui se pensait heureuse se remet en question. Une perte de confiance pour une prise de conscience ?
L'angoisse supplante peu à peu sa maîtrise. Dans ses rêves et dans la réalité, elle lâche enfin une part de ce qui la travaille profondément: la quête de l'amour bien sûr, mais aussi le besoin d'afficher aux yeux du monde une vie de couple. Elle devra faire face à ses désirs et ses contradictions.
Notre avis: Difficile d'accrocher à cette histoire où les sentiments sont confus et où les personnages de savent pas ce qu'ils veulent vraiment. Un dur constat sur l'échec du couple. Un film qui nous renvoie peut-être à nos frustrations et surtout à nos déceptions, et que l'on a peut-être du mal à regarder en face et à accepter, tellement le miroir est devant nous, sans possibilité de le briser ! Gérard Chargé 1 Zoom
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