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Film américain
Réalisé par Francis Lawrence
Avec Rachel Zegler, Hunter Schafer, Jason Schwartzman…
Science-fiction d'Aventure – 2h45 -
Pas de rencontre pour ce film, pas de ballade !

Titre original : The Hunger Games: The Ballad of Songbirds and Snakes
Distributeur : Metropolitan FilmExport
Distributeur : Metropolitan FilmExport

Avec Rachel Zegler, Hunter Schafer, Jason Schwartzman, Viola Davis, Peter Dinklage, Tom Blyth, Burn Gorman, Kjell Brutscheidt, Fionnula Flanagan, Ashley Liao, Josh Andrés Rivera, Flora Li Thiemann, Sofia Sanchez, Victoria Paige Watkins, Ayomide Adegun, George Somner, Mackenzie Lansing, Isobel Jesper Jones, Lilly Maria Cooper, Vaughan Reilly, Zoe Renee, Dakota Shapiro, Dexter Sol Ansell, Marc Aden Gray, Irene Böhm, Michael Greco, Knox Gibson, Hiroki Berrecloth, Amélie Hoeferle, Nick Benson, Luna Steeples, Carl Spencer, Max Raphael, Athena Strates, Honor Gillies, Lolita Laav, Dimitri Abold, Scott Folan, Kaitlyn Akinpelumi, Cooper Dillon, Jerome Lance, Aamer Husain, Eike N.A. Onyambu, Raphael Zari, Luna Kuse, Daniela Grubert, Joshua Kantara, Konstantin Taffet, Mona Vojacek Koper, Falé Neubert…

Ce film constitue le 5e opus de la série de films "Hunger Games" mais il doit chronologiquement être visionné en premier car il s'agit d'un préquel centrée sur le personnage de Coriolanus Snow Président du Capitole et Ordonnateur des jeux. Cela se passe plus de 60 ans avant les quatre premiers volets de la saga qui ont raconté les aventures de Katniss Everdeen. Cette tétralogie fait l'objet d'adaptation des romans éponymes de Suzanne Collins.

Notre avis : Plus violent et plus impactant (on peut se surprendre à détourner les yeux de l'écran), car les tueries du jeu télévisé sadique nommé les «Hunger Games», où un seul survivant doit rester, sont plus démonstratives, plus terrifiantes et ignobles que dans les quatre films précédents. De plus il n'était pas nécessaire de découvrir le jeune Coriolanus Snow, nous nous en serions passés. Jennifer Lawrence incarnait la série qu'elle portait incontestablement sur ses épaules et était le symbole de la rébellion dans une Amérique post-apocalyptique nommée «Panem», un monde dystopique bien scénarisé où tout les sentiments pointaient. Ici c'est plat et le scénario est très léger, il suffit d'accepter ce que l'on nous propose, comme les personnages du film (donc peu d'intérêt !). On s'ennuie à la répétition des séquences violentes. Une déception ! Gérard Chargé - 1 Zoom -
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