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LE PROCÈS GOLDMAN

LE PROCÈS GOLDMANlogoZoom Français

Sortie : le 27 Septembre 2023

VU - 3 Zooms -

Film français

Réalisé par Cédric Kahn

Avec Arieh Worthalter, Jeremy Lewin, Arthur Harari…

Drame – 1h55 -

Rencontre Ciné Zooms Photos et Vidéo avec le réalisateur et ses comédiens au Festival de Cannes 2023 (lorsque le film sortira en Vidéo).

 

FILM D'OUVERTURE
55ème QUINZAINE DES CINEASTES : CANNES 2023
 
LE PROCÈS GOLDMAN
 
 
Titre original : Le Procès Goldman

Distributeur : Ad Vitam
 
Musique originale : ?

LE PROCÈS GOLDMAN
 
Avec Arieh Worthalter, Jeremy Lewin, Arthur Harari, Christian Mazucchini, Stéphan Guérin-Tillié, Aurélien Chaussade, Nicolas Briançon, Jerzy Radziwilowicz, Chloé Lecerf, Didier Borga, Paul Jeanson, François Favrat, Arthur Verret, Priscilla Lopes, Ambroise Sabbagh, Maxime Canat…

L'histoire : En novembre 1975, débute le deuxième procès de Pierre Goldman, militant d’extrême gauche, condamné en première instance à la réclusion criminelle à perpétuité pour quatre braquages à main armée, dont un ayant entraîné la mort de deux pharmaciennes. Il clame son innocence dans cette dernière affaire et devient en quelques semaines l’icône de la gauche intellectuelle. Georges Kiejman, jeune avocat, assure sa défense. Mais très vite, leurs rapports se tendent. Goldman, insaisissable et provocateur, risque la peine capitale et rend l’issue du procès incertaine…
LE PROCÈS GOLDMAN


 Notre avis : Un procès passionnant à suivre avec intérêt, qui prend des tournures politiques de par les activité de l'accusé. Un grand film historique qui ressuscite un pan oublié de notre histoire, un procès dont l’objet a retrouvé récemment une brûlante actualité puisqu’il y est question aussi bien de la radicalisation d’un engagement politique qui flirte avec la violence. Ce qui impressionne dans "Le Procès Goldman", c’est la maîtrise de sa mise en scène. La caméra ne quitte quasiment jamais la salle d’audience, sinon pour la première scène, qui se déroule dans le cabinet de George Kiejman à Paris et pour quelques intermèdes tournés dans la « souricière », cette pièce du palais de justice où l’accusé est enfermé pendant les interruptions de séance. Le procédé pourrait être étouffant. Il l’est parfois d’autant que le film dure près de deux heures. Mais les joutes orales qui opposent l’accusation, l’avocat des parties civiles et la défense sont d’une telle intensité, les témoignages qui se succèdent offrent l’occasion de tant de retournements, le suspense qui, jusqu’au prononcé du verdict, est si intense (ne cédez pas à la tentation de le connaître avant d’aller voir le film) qu’on sort de la salle, épuisé mais conquis, par ce film si impressionnant. Gérard Chargé - 3 Zooms -
 

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