Sortie : le 19 Octobre 2022
VU - 4 Zooms -
Film italien, polonais
Réalisé par Jerzy Skolimowski
Avec Sandra Drzymalska, Isabelle Huppert, Lorenzo Zurzolo…
Drame – 1h26 -
Rencontre Ciné Zooms Photos avec les producteurs et le comédien Lorenzo Zurzolo au 75ème Festival de Cannes 2022
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PRIS DU JURY EX-AEQUO
75ème FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM DE CANNES 2022
75ème FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM DE CANNES 2022
Titre original : Hi-han
Distributeur : ARP Sélection
Distributeur : ARP Sélection
Musique originale de Pawel Mykietyn
Site officiel : NC
Avec Sandra Drzymalska, Isabelle Huppert, Lorenzo Zurzolo, Mateusz Kosciukiewicz, Tomasz Organek, Lolita Chammah, Agata Sasinowska, Anna Rokita, Michal Przybyslawski, Gloria Iradukunda, Piotr Szaja, Aleksander Janiszewski, Delfina Wilkonska, Andrzej Szeremeta, Wojciech Andrzejuk, Mateusz Muranski, Marcin Drabicki, Maciej Stepniak, Fernando Junio Gomes da Silva, Krzysztof Karczmarz, Waldemar Barwinski, Saverio Fabbri, Katarzyna Russ…
L'histoire : Une version moderne de "Au hasard Balthazar" de Robert Bresson.
L'histoire d'un âne nommé Baltazar, qui commence dans un cirque polonais et se termine dans un abattoir italien.…
Notre avis : Mon premier Coup de Coeur de ce festival 2022. Un film superbe et envoûtant, magnifique, sensuel et cruel aussi : tant de superlatifs d'excellences et bien d'autres qui décrivent cette histoire relatant le parcours d'un âne, qui nous happe du début à la fin. Un âne enlevé à sa maîtresse et compagne de vie, très liés qui évoluent ensemble dans un cirque polonais, suite aux interdictions de posséder un animal et de se produire avec. C'est plus que du dressage, ce sont des sentiments qu'on brise ! Mais cela, nos chers politiques qui font les lois n'en tiennent pas compte. Le point de vue du film est celui de l'âne, avec ses états d'âme et ses souffrances psychiques (et oui, les animaux aussi en ont !). C'est cruel soit-disant d'utiliser des animaux même s'ils ont de vraies relations avec leurs dresseurs (ce qui devrait être pris en considération, c'est le respect de l'animal). Comme le montre le film, finalement, d'autres personnes décident pour eux et ils finissent et sont utilisés par l'homme en fin de compte autrement, pour des travaux domestiques qui les réduisent à l'esclavage ou pire pour certains qui finissent à l'abattoir... J'aimerai que l'on m'explique la vraie différence avec de vrais arguments, car dans un cirque une vraie complicité et une affection s'établissent avec l'homme et l'animal qui ne finissent par ne faire qu'un... Les exploitations qui s'en suivront, sont bien plus cruelles et hypocrites... Ce sont les dresseurs qui maltraitent les animaux, qu'il faut interdire, mais pas ceux qui les aiment vraiment... Aucune complicité n'existent dans les travaux obligatoires infligés aux animaux utilisés jusqu'à l'abattage final. De plus, je ne savais pas que l'on faisait du salami, avec la viande de l'âne : cela tombe bien, je n'aime pas ça ! Un film sensitif, aux superbes images (attention, une ou deux scènes très dures !), pour une oeuvre digne de figurer au palmarès du festival... et à ne pas manquer lors de sa sortie en salle en octobre 2022. Gérard Chargé - 4 Zooms -
L'histoire : Une version moderne de "Au hasard Balthazar" de Robert Bresson.
L'histoire d'un âne nommé Baltazar, qui commence dans un cirque polonais et se termine dans un abattoir italien.…
Notre avis : Mon premier Coup de Coeur de ce festival 2022. Un film superbe et envoûtant, magnifique, sensuel et cruel aussi : tant de superlatifs d'excellences et bien d'autres qui décrivent cette histoire relatant le parcours d'un âne, qui nous happe du début à la fin. Un âne enlevé à sa maîtresse et compagne de vie, très liés qui évoluent ensemble dans un cirque polonais, suite aux interdictions de posséder un animal et de se produire avec. C'est plus que du dressage, ce sont des sentiments qu'on brise ! Mais cela, nos chers politiques qui font les lois n'en tiennent pas compte. Le point de vue du film est celui de l'âne, avec ses états d'âme et ses souffrances psychiques (et oui, les animaux aussi en ont !). C'est cruel soit-disant d'utiliser des animaux même s'ils ont de vraies relations avec leurs dresseurs (ce qui devrait être pris en considération, c'est le respect de l'animal). Comme le montre le film, finalement, d'autres personnes décident pour eux et ils finissent et sont utilisés par l'homme en fin de compte autrement, pour des travaux domestiques qui les réduisent à l'esclavage ou pire pour certains qui finissent à l'abattoir... J'aimerai que l'on m'explique la vraie différence avec de vrais arguments, car dans un cirque une vraie complicité et une affection s'établissent avec l'homme et l'animal qui ne finissent par ne faire qu'un... Les exploitations qui s'en suivront, sont bien plus cruelles et hypocrites... Ce sont les dresseurs qui maltraitent les animaux, qu'il faut interdire, mais pas ceux qui les aiment vraiment... Aucune complicité n'existent dans les travaux obligatoires infligés aux animaux utilisés jusqu'à l'abattage final. De plus, je ne savais pas que l'on faisait du salami, avec la viande de l'âne : cela tombe bien, je n'aime pas ça ! Un film sensitif, aux superbes images (attention, une ou deux scènes très dures !), pour une oeuvre digne de figurer au palmarès du festival... et à ne pas manquer lors de sa sortie en salle en octobre 2022. Gérard Chargé - 4 Zooms -
Rencontre Ciné Zooms Photos avec les producteurs et le comédien Lorenzo Zurzolo
75ème Festival International du Film de Cannes 2022
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Photos : Thierry Vaslot (A.C.R. / Ciné Zooms)
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