Synopsis : Femme au foyer, Yasuko Honda vit avec son mari et son fils dans un grand immeuble d’un quartier résidentiel. Régulièrement harcelée par les démarcheurs et les canulars téléphoniques, la jeune femme, excédée, finit par claquer la porte sur les doigts d’un vendeur. Choqué, celui-ci refuse d’en rester là. Sa vengeance se mue bientôt en véritable obsession...
Notre avis : Un suspens angoissant, pour une situation très plausible, dont le sujet peut inquiéter les femmes seules à leur domiciles, lors de l'absence du mari. Dommage que la fin, soit violente et démonstrative, cela à mon goût gâche le discours et le propos du film, pour un faire un film de genre horrifique spécifique aux pays asiatiques, qui n'avait pas besoin d'être aussi démonstratif... Certain aime ce types de séquences, mais pour ma part, ce n'est pas ma tasse de thé. Deux films en un pour un basculement inutile à mes yeux ! Gérard Chargé - 2 Zooms -
DOOR 2
1h 22min
| Epouvante-horreur,
Thriller
Titre original : Door II: Tôkyô Diary
Synopsis :
Ai est une call-girl de 20 ans. La jeune femme parcourt Tokyo au gré de ses rendez-vous, ne sachant jamais sur quel client elle va tomber. Malgré les risques qu’elle encourt quotidiennement, Ai aime la liberté et l’indépendance que lui procure son métier. Sa rencontre avec le peintre Mamiya va la pousser plus loin dans l’exploration de sa sexualité…
Notre avis : Pour ce film-ci, le ton est donné d'entrée, ce sera du démonstratif, de la violence et du sanguin tout du long. Seul les amateurs apprécieront, pour les autres cet enchaînement de séquences violentes ne trouve pas de sens à nos yeux, même si l'on nous dit que le réalisateur explore avec ces deux films la face sombre de son pays. Le visuel d'un film est quand même le plus important au cinéma, c'est certain, il y a ce que l'on voit et ce que cela signifie. Heureusement nous n'avons pas tous la même lecture de ce qui nous est mis sous les yeux. Autant le premier DOOR, pouvait avoir un intérêt quelconque, autant ce second volet peut être refermé ! Gérard Chargé - 1 Zoom -