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RUBEN ÖSTLUND |
Sa filmographie |
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Réalisateur, scénariste, monteur, producteur et directeur de la photographie suédois
Né le 13 avril 1974 à Styrsö (Göteborg), en Suède, Ruben Östlund passe sa jeunesse dans les trains, à voyager de station de ski en station de ski, entre l'Europe et les Etats-Unis afin d'assouvir sa passion. De 1995 à 1998, il réalise des vidéos de ski et se forge progressivement un désir de faire du cinéma. Il revient en Suède et entre à l'école supérieur de photo et de cinéma de Göteborg, d'où il sort diplômé en 2002.
Il crée alors une société de production "Platform" avec son camarade à l'école de cinéma Erik Hemmendorff. C'est au sein de cette structure qu'il produira ses courts-métrages et son premier long, "Guitar Mongoloid" en 2005 qui remporte le prix de la Critique Internationale au festival de Moscou. Son court-métrage "Autobiographical Scene Number : 6882" remporte le Prix UIP à Édimbourg.
En 2009, il produit son deuxième long-métrage où il développe avec plus de précision un regard caustique et acéré sur les excès de la jeunesse suédoise contemporaine "Happy sweden".
Son troisième long métrage "PLAY" en 2011 se tient à Cannes à la Quinzaine des Réalisateurs, où Frédéric Boyer lui donne le «Coup de Cœur» de la Quinzaine. Le film est projeté à Venise et Toronto, ainsi que dans de nombreux autres festivals où il reçoit plusieurs prix et distinctions. Il est nommé pour le prestigieux prix LUX du Parlement Européen et gagne le Prix Nordique, la distinction la plus importante en Scandinavie.
Pour son quatrième film "Snow Therapy", il revient à sa première passion la neige, avec une famille confronté à une avalanche. En 2016, il fait partie du jury Un certain Regard au 69ème Festival international de cannes présidé par Marthe Keller.
En 2009, il produit son deuxième long-métrage où il développe avec plus de précision un regard caustique et acéré sur les excès de la jeunesse suédoise contemporaine "Happy sweden".
Son troisième long métrage "PLAY" en 2011 se tient à Cannes à la Quinzaine des Réalisateurs, où Frédéric Boyer lui donne le «Coup de Cœur» de la Quinzaine. Le film est projeté à Venise et Toronto, ainsi que dans de nombreux autres festivals où il reçoit plusieurs prix et distinctions. Il est nommé pour le prestigieux prix LUX du Parlement Européen et gagne le Prix Nordique, la distinction la plus importante en Scandinavie.
Pour son quatrième film "Snow Therapy", il revient à sa première passion la neige, avec une famille confronté à une avalanche. En 2016, il fait partie du jury Un certain Regard au 69ème Festival international de cannes présidé par Marthe Keller.
Il revient à Canne pour présenter "The Square". Il reçoit la palme d'or 2017 remise par le président Pedro almodovar
En décembre 2018, il préside le jury du 10e festival de cinéma européen des Arcs.
De retour sur la croisette en 2022, il remporte pour la seconde fois la Palme d'or au Festival de Cannes pour "Sans filtre" avec Harris Dickinson, Charlbi Dean Kriek et Woody Harrelson. Il devient le neuvième cinéaste doublement palmé.
En 2023, Il succède à Vincent Lindon qui lui avait remis sa seconde Palme d'or pour présider le jury de la 76e édition du festival de Cannes.
En décembre 2018, il préside le jury du 10e festival de cinéma européen des Arcs.
De retour sur la croisette en 2022, il remporte pour la seconde fois la Palme d'or au Festival de Cannes pour "Sans filtre" avec Harris Dickinson, Charlbi Dean Kriek et Woody Harrelson. Il devient le neuvième cinéaste doublement palmé.
En 2023, Il succède à Vincent Lindon qui lui avait remis sa seconde Palme d'or pour présider le jury de la 76e édition du festival de Cannes.
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