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ARSINEE KHANJIAN |
Sa filmographie |
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Actrice et productrice canadienne d'origine arménienneNée le 6 septembre 1958 à Beyrouth, Arsinée Khanjian grandit dans la communauté arménienne de Beyrouth. Elle émigre à 17 ans avec sa famille du Liban au Montréal. Elle étudie le théâtre au Conservatoire Lassalle et obtient une licence en espagnol et en français de l'Université Concordia. Alors qu'elle répète une pièce de théâtre à Montréal, elle rencontre le cinéaste Atom Egoyan, qui fait un casting pour "Next of Kin".
Après avoir décroché le premier rôle dans le film d'Egoyan, elle s'installe à Toronto et obtient une maîtrise en sciences politiques de l'Université de Toronto. Elle devient l'épouse, la muse et l'actrice fétiche d'Egoyan et joue dans pratiquement tous ses films,
Elle est traductrice dans "Calendar", la propriétaire dans "Exotica" en 1994, une mère hippie dans "De beaux lendemains" en 1997, l'historienne et mère désespérée dans "Ararat" en 2002, La Vérité nue (2005), et un professeur de français au lourd secret dans "Adoration" présenté en Sélection Officielle au Festival de Cannes 2008.
Elle collabore à l'écriture et au montage de "Stone Time Touch", un film de Gariné Torossian qui a remporté le prix du meilleur documentaire au festival du film de Varsovie.
Elle fait également du théâtre et joue dans la version française de "Dancing at Lughnasa" de Brian Friel, ainsi que dans plusieurs films français dont "Irma Vep" en 1996 et "Fin août, début septembre" en 1998 d'Olivier Assayas, "Code inconnu" en 2000 de Michael Haneke avec Juliette Binoche, "À ma sœur !" en 2001 de Catherine Breillat, "Le Mas des alouettes" en 2007 des frères Taviani et "Poupoupidou" en 2011 de Gérald Hustache-Mathieu.
En 2012, Arsinée Khanjian rejoint le Jury de la Cinéfondation et des courts métrages lors du 65ème Festival International Du Film De Cannes 2012.
Elle est mariée au réalisateur Atom Egoyan. Elle est une bénévole active et membre de comités de groupes d'arts internationaux, tels que The Power Plant, la plus grande galerie d'art du Canada. Elle est membre de l'Académie depuis 1993.
Elle est traductrice dans "Calendar", la propriétaire dans "Exotica" en 1994, une mère hippie dans "De beaux lendemains" en 1997, l'historienne et mère désespérée dans "Ararat" en 2002, La Vérité nue (2005), et un professeur de français au lourd secret dans "Adoration" présenté en Sélection Officielle au Festival de Cannes 2008.
Elle collabore à l'écriture et au montage de "Stone Time Touch", un film de Gariné Torossian qui a remporté le prix du meilleur documentaire au festival du film de Varsovie.
Elle fait également du théâtre et joue dans la version française de "Dancing at Lughnasa" de Brian Friel, ainsi que dans plusieurs films français dont "Irma Vep" en 1996 et "Fin août, début septembre" en 1998 d'Olivier Assayas, "Code inconnu" en 2000 de Michael Haneke avec Juliette Binoche, "À ma sœur !" en 2001 de Catherine Breillat, "Le Mas des alouettes" en 2007 des frères Taviani et "Poupoupidou" en 2011 de Gérald Hustache-Mathieu.
En 2012, Arsinée Khanjian rejoint le Jury de la Cinéfondation et des courts métrages lors du 65ème Festival International Du Film De Cannes 2012.
Elle est mariée au réalisateur Atom Egoyan. Elle est une bénévole active et membre de comités de groupes d'arts internationaux, tels que The Power Plant, la plus grande galerie d'art du Canada. Elle est membre de l'Académie depuis 1993.
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