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KAOUTHER BEN HANIA |
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Réalisatrice, Scénariste, Actrice Tunisienne
Née le 27 août 1977 à Sidi Bouzid en tunisie, Kaouther Ben Hania étudie de 2002 à 2004 à l’École des arts et du cinéma de Tunis. Elle réalise durant cette formation plusieurs courts métrages, dont "La Brèche" qui est remarqué. En 2003, elle participe également à un atelier d'écriture de long métrage Aristote financé par Euromed. En 2004, elle prolonge sa formation à La Femis, tout d'abord dans le cadre de l'université d'été puis en 2004-2005.
En 2006, elle réalise un autre court métrage, "Moi, ma sœur et la chose", inspiré de la nouvelle "Le Jeune homme, l'enfant et la question" de Mohsen Ben Hania. Elle travaille ensuite pour Al Jazeera Documentary Channel , jusqu'en 2007.
Puis elle réalise plusieurs longs métrages, distingués dans divers festivals, en même temps qu'elle reprend des études, en 2007-2008, à l'université Sorbonne-Nouvelle. En 2010, son premier documentaire "Les imams vont à l'école" est présenté à l'IDFA. En 2011 elle réalise une série télévisuelle en 3D pour enfants de 120 épisodes, diffusée sur Aljazeera Children.
Elle réalise plusieurs courts métrages, dont "Peau de colle" en 2013 et "Les Pastèques du cheikh" en 2018 qui a connu un long succès sur le circuit des festivals internationaux. Le premier de ces trois longs métrages est "Le Challat de Tunis", qui sort en 2014, une satire sociale au ton ironique, tout en abordant comme les œuvres suivantes les rapports entre femmes et hommes. Le film est sélectionné et fait l'ouverture de la section ACID du Festival de Cannes.
En 2016, son deuxième documentaire "Zaineb déteste la neige" a été présenté en première au Locarno Film Festival et a remporté plusieurs prix.
Puis elle réalise plusieurs longs métrages, distingués dans divers festivals, en même temps qu'elle reprend des études, en 2007-2008, à l'université Sorbonne-Nouvelle. En 2010, son premier documentaire "Les imams vont à l'école" est présenté à l'IDFA. En 2011 elle réalise une série télévisuelle en 3D pour enfants de 120 épisodes, diffusée sur Aljazeera Children.
Elle réalise plusieurs courts métrages, dont "Peau de colle" en 2013 et "Les Pastèques du cheikh" en 2018 qui a connu un long succès sur le circuit des festivals internationaux. Le premier de ces trois longs métrages est "Le Challat de Tunis", qui sort en 2014, une satire sociale au ton ironique, tout en abordant comme les œuvres suivantes les rapports entre femmes et hommes. Le film est sélectionné et fait l'ouverture de la section ACID du Festival de Cannes.
En 2016, son deuxième documentaire "Zaineb déteste la neige" a été présenté en première au Locarno Film Festival et a remporté plusieurs prix.
En 2017, son long métrage "La Belle et la Meute" est sélectionné dans la catégorie Un certain regard au Festival de Cannes 2017, et est ovationné lors de la projection. Il remporte le prix de la meilleure création sonore. En 2018, "La Belle et la Meute" est nommé pour le prix Lumières du meilleur film francophone. En 2018, ce même film est sélectionné par le Centre national du cinéma et de l'image comme proposition pour représenter la Tunisie lors des Oscars 2019 dans la catégorie du meilleur film étranger il n'est toutefois pas retenu parmi les nominations.
En 2020, le film "L'Homme qui a vendu sa peau" est présenté en avant-première à la Mostra de Venise et a remporté le prix du meilleur acteur. L'année suivante, c'est le premier film tunisien sélectionné aux Oscars Meilleur Film étranger.
Photos: Thierry Vaslot (A.C.R. / Cine-zoom)
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