Notre avis : Même si les incarnations de Bogart (1946) et de Mitchum (1978), où ils incarnent tous deux Philip Marlowe dans deux versions différentes de LE GRAND SOMMEIL, d'abord sous le direction de Howard Hawks, puis de Michael Winner, qui sont demeurées tout particulièrement célèbres : il est à noter qu'ici, celle d'Elliot Gould forme le trio de tête, car sa composition est impeccable et sans faille et il faut dire que Robert Altman, ne laisse rien au hasard et que son film est très soigné dans les moindres détails. une petite note d'humour est apportée au personnage, mais très légère... Drôle de revoir Schwarzy en garde du corps, qui se désape pour rien finalement... à l'époque nous ne le connaissions pas ! Image, lumière, ambiance, musique, tout nous plonge dans l'univers de Chandler et l'on ne peut qu'apprécier, car le scénario est bien ficelé et l'histoire bien amenée et parfaitement bouclée. Du polar comme on n'aime ! Gérard Chargé - 4 Zooms -
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