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69ème FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM DE CANNES 2016

69ème FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM DE CANNES 2016 - Cannes Classic

Index de l'article
69ème FESTIVAL INTERNATIONAL DU FILM DE CANNES 2016
Jury officielle
Seléction Officielle en Compétition
Sélection Officielle hors Compétition
JURY Un Certain Regard
JURY Caméra d'Or
Sélection Officielle Un Certain Regard
JURY Cinéfondation et Courts Métrages
Sélection Officielle Courts Métrage en Compétition
Sélection Cinéfondation
Atelier Cinéfondation
Cannes Classic
LE PALMARES
MAGNUM CANNES
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CANNES CLASSIC

Bertrand Tavernier en avant-première mondiale, William Friedkin en conversation, une célébration Cannes 1966, les 70 ans de la Fipresci, Wiseman & Depardon, deux géants du cinéma documentaire, des films inconnus en provenance de pays rares, des cinémathèques à l’honneur, l’Europe de l’Est en force, des documentaires sur le cinéma, de grands films populaires, du cinéma de genre, de la science-fiction, de la comédie, de l’animation, de l’horreur gothique, du western : voici Cannes Classics 2016.
 
La plupart des films présentés sortiront en salles et en DVD/Blu-ray, et tout ou partie du programme Cannes Classics sera repris au cinéma Les Fauvettes (Paris), au festival Cinema Rittrovato (Bologne), à l’Institut Lumière (Lyon).

EN AVANT-PREMIÈRE MONDIALE, LE DOCUMENTAIRE DE BERTRAND TAVERNIER SUR LE CINÉMA FRANÇAIS


Voyage à travers le cinéma français de Bertrand Tavernier (2016, 3h15, France).
 
« Ce travail de citoyen et d’espion, d’explorateur et de peintre, de chroniqueur et d’aventurier qu’ont si bien décrit tant d’auteurs, de Casanova à Gilles Perrault, n’est-ce pas une belle définition du métier de cinéaste que l’on a envie d’appliquer à Renoir, à Becker, au Vigo de Zéro de Conduite, au Duvivier de Pépé le Moko, aussi bien qu’à Truffaut, Franju ou Demy. A Max Ophuls et aussi à Bresson. Et à des metteurs en scène moins connus qui au détour d’une scène ou d’un film illuminent une émotion, débusquent des vérités surprenantes. Je voudrais que ce film soit un acte de gratitude envers tous ceux, cinéastes, scénaristes, acteurs et musiciens qui ont surgi dans ma vie. La mémoire réchauffe : ce film, c’est un peu de charbon pour les nuits d’hiver. »
 
LA LEÇON DE CINEMA : WILLIAM FRIEDKIN
 
Le mercredi 18 mai, William Friedkin donnera la Leçon de cinéma annuelle, animée par le critique Michel Ciment. Par ailleurs, il présentera un film-surprise restauré en salle Buñuel et Sorcerer (1977) au Cinéma de la Plage.
 
LA DOUBLE PALME D’OR DE 1966
 
Après La Bataille du rail pour ouvrir ce mini-cycle il y a quelques années, le Festival de Cannes continue d’accueillir les restaurations des films lauréats de la Palme d’Or. En 2016, retour sur l’année 1966 et sur les deux vainqueurs, Pietro Germi et Claude Lelouch, récompensés par le jury présidé par Sophia Loren. 
 
Signore & signori (Ces messieurs dames ou Belles dames, vilains messieurs) de Pietro Germi (1966, 2h, Italie/France).
 
Un Homme et une femme de Claude Lelouch (1966, 1h42, France).

HOMMAGES CROISÉS A RAYMOND DEPARDON ET FREDERICK WISEMAN
 
Faits divers de Raymond Depardon (1983, 1h30, France).

Hospital de Frederick Wiseman (1969, 1h24, Etats-Unis).
 
A noter que Frederick Wiseman sera présent à Cannes et recevra à cette occasion le Prix Consécration de France Culture.
 
LE PREMIER PRIX DE LA FIPRESCI,
A L’OCCASION DES 70 ANS DE LA FÉDÉRATION INTERNATIONALE DE LA PRESSE CINÉMATOGRAPHIQUE
 
Farrebique de Georges Rouquier (1946, 1h27, France).

NEUF DOCUMENTAIRES SUR LE CINÉMA
 
Comme chaque année, Cannes Classics propose des documentaires, une manière de raconter l’histoire du cinéma par le cinéma lui-même.
The Cinema Travelers de Shirley Abraham et Amit Madheshiya (2016, 1h36, Inde).
Portait d’un cinéma itinérant en Inde, qui continue à porter la magie des images devant des spectateurs médusés et doit faire face aux changements technologiques, nombreux et complexes, tandis qu’un réparateur de projecteurs narre sa vision de l’évolution du cinéma avec poésie, philosophie et pragmatisme.

The Family Whistle de Michele Russo (2016, 1h05, Italie).
La famille Coppola, leur arrivée en Amérique, leurs liens avec leur Italie natale et leur relation à la musique. Avec de multiples interventions et anecdotes pleines de malice d’un des plus grands clans de cinéma actuel, dont Francis Coppola et Talia Shire.
 
Cinema Novo de Eryk Rocha (2016, 1h30, Brésil)
Un essai filmique, politique et poétique qui évoque les grands films du Cinema Novo. De nombreuses interviews des réalisateurs Nelson Pereira dos Santos, Glauber Rocha, Leon Hirszman, Joaquim Pedro de Andrade, Ruy Guerra, Walter Lima Jr. ou encore Paulo César Saraceni.
 
Midnight Returns: The Story of Billy Hayes and Turkey de Sally Sussman (2016, 1h39, Etats-Unis)
Midnight Express raconté par ceux qui l’on fait : le réalisateur Alan Parker, le scénariste Oliver Stone et le producteur David Puttnam. Le film évoque aussi la façon dont l’image de la Turquie fut affectée par le film et montre comment Billy Hayes, le « héros » véritable de l’histoire, tente d'y revenir pour reconstruire les liens brisés.
 
Bright Lights: Starring Carrie Fischer and Debbie Reynolds de Alexis Bloom et Fisher Stevens (2016, 1h35, Etats-Unis)
La vie et la relation intime de deux actrices : Carrie Fischer, héroïne de Star Wars, et de sa mère, Debbie Reynolds, la légendaire interprète de Chantons sous la pluie. La grande histoire et la petite histoire. Un documentaire tendre sur deux âges d’or du cinéma américain.
 
Gentleman Rissient de Benoît Jacquot, Pascal Mérigeau et Guy Seligmann (2015, 1h14 minutes, France).
Un portrait de Pierre Rissient, découvreur, attaché de presse, producteur, réalisateur et ambassadeur inlassable du cinéma mondial.
 
Close encounters with Vilmos Zsigmond de Pierre Filmon (2016, 1h18, France)
La vie du directeur de la photographie Vilmos Zsigmond, des rues de Budapest à Hollywood. De très nombreux artistes, dont John Travolta et Nancy Allen, et chefs-opérateurs de renom interviennent, le questionnent pour tracer le portrait d’un artiste complet.
 
Et La femme créa Hollywood de Clara et Julia Kuperberg (2015, 52mn, France)
De Lois Weber à Mary Pickford et Dorothy Arzner, une galerie de pionnières passionnantes qui ont aussi créé Hollywood. Leur point commun ? Ce sont toutes des femmes et elles ont (presque) toutes été oubliées.
 
Bernadette Lafont et Dieu créa la femme de Esther Hoffenberg (2016, 65mn, France)
Un portrait de Bernadette Lafont, l’actrice la plus atypique du cinéma français, avec ses petites-filles, ses amis Jean-Pierre Kalfon et Bulle Ogier, qui évoquent leur complicité artistique et humaine.
 
COPIES RESTAURÉES
 
Comme chaque année, Cannes Classics présente une vingtaine de copies restaurées. Pour cette édition, un effort particulier a été fait pour inviter des pays jamais encore sélectionnés pour leur travail patrimonial (Slovénie, Suisse, Pakistan, République Tchèque, Cuba, Thaïlande, Hongrie, Pologne). Attention perles rares ! Pour le reste, des grands classiques, des cinémathèques et des films qui nous donnent de leurs nouvelles.
 
Die letzte Chance (La Dernière chance) de Leopold Lindtberg (1945, 1h53, Suisse)
 
Dolina Miru (La Vallée de la paix) de France Stiglic (1956, 1h30, Slovénie)
 
Ikarie XB 1 de Jindřich Polák (1963, 1h28, République Tchèque)
 
Jago hua savera (Quand naîtra le jour) de Aaejay Kardar (1958, 1h34, Pakistan)
 
Memorias del subdesarrollo (Mémoires du sous-développement) de Tomás Gutiérrez Alea (1968, 1h37, Cuba)
 
Santi-Vina de Thavi Na Bangchang (1954, 1h54, Thaïlande)
 
Szerelem (Amour) de Károly Makk (1971, 1h32, Hongrie)
 
Howards End (Retour à Howards End) de James Ivory (1992, 2h20, Royaume-Uni/Japon)
 
Le Décalogue 5 (Tu ne tueras point) et 6 (Tu ne seras pas luxurieux) de Krzysztof Kieślowski (1989, 57mn et 58mn, Pologne)
 
Momotarô, Umi no shinpei (Momotaro, le divin soldat de la mer) de Mitsuyo Seo (1945, 1h14, Japon)
 
One-Eyed Jacks (La Vengeance aux deux visages) de Marlon Brando (1961, 2h21, Etats-Unis)
 
Solyaris (Solaris) de Andreï Tarkovski (URSS, 1972, 2h47, Fédération de Russie)
 
Ugetsu monogatari (Les Contes de la lune vague après la pluie) de Kenji Mizoguchi (1953, 1h37, Japon)
 
Dragées au poivre de Jacques Baratier (1963, 1h34, France)
 
Valmont de Milos Forman (1989, 2h17, France)
 
Gueule d’amour de Jean Grémillon (1937, 1h32, France)
 
Masculin féminin de Jean-Luc Godard (1966, 1h50, France)
 
Indochine de Régis Wargnier (1992, 2h32, France)
 
Adieu Bonaparte de Youssef Chahine (1984, 1h55, France/Egypte)
 
Pit and The Pendulum (La Chambre des tortures) de Roger Corman (1961, 1h20, Etats-Unis)
 
Rendez-vous de juillet
de Jacques Becker (1949, 1h39, France)
 
 
EN SÉANCE SPÉCIALE CANNES CLASSICS
 
Terrore nello spazio (La Planète des vampires) de Mario Bava (1965, 1h28, Italie/Espagne)
 
Tiempo de morir de Arturo Ripstein (1966, 1h30, Mexique)



 

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