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21ème FESTIVAL CINÉMATOGRAPHIQUE D'AUTOMNE DE GARDANNE |
Les films du festival |
Les rencontres et débats |
Toutes les pages |
Belgique / France
La famille Wolberg de Axelle Ruppert
La domination masculine de Patric Jean
Bulgarie
Eastern plays de Kamen Ropert (Film de Clôture)
France
Yuki et Nina de Nobushiro Suwa et Hippolyte Girardot
La grande vie de Emmanuel Salinger
La dame de trèfle de Jérôme Bonnell
D’une seule voix de Xavier De Lauzane PRIX DU PUBLIC 2009
Italie
Vincere de Marco Bellochio
Norvège
En eaux troubles de Erik Poppe
Roumanie
Les contes de l’âge d’or de Cristian Mungiu
Suisse / France
Cœur animal de Séverine Cornamusaz
Algérie / France
Mascarades de Lyes Salem
Allemagne
Yella de Christian Petzold
Jerichow de Christian Petzold
Argentine
La fenêtre de Carlos Sorin
La camara oscura de Maria Victoria Menis
El Nino Pez de Lucia Puenzo
Autriche
Let’s make money de Erwin Wagenhofer
Le ruban blanc de Michael Hanecke (Film d'ouverture)
Canada
J’ai tué ma mère de Xavier Dolan
Chine
Memory of love Wang Chao
Corée du sud
La petite fille de la terre noire de Jeon Soo-il
Etats Unis
Une nuit à New York de Peter Solett
Rachel se marie de Jonathan Demme
The pleasure of being robbed de Joshua Safdie
Humpday de Lynn Shelton
France
Rien de personnel de Mathias Gokalp
Melle Chambon de Stéphane Brizé
La République Marseille de Denis Gheerbrant
Hongrie
Delta de Kornel Mundruczo
Iran
A propos d’Elly de Asghar Farahdi
Israël
Jaffa de Keren Yedaya
Tu n’aimeras point de Haim Tabakman
Italie
La sicilienne de Marco Amenta
Japon
Departures de Yojiro Takita
Maroc
Casa Negra de Noureddine Lakhmari
Number one de Zakia Tahiri
République Tchèque
Country teacher de Bohdan Slama
Roumanie
Au diable Staline, vive les mariés de Horatiu Malaele
Serbie / France
Ordinary people de Vladimir Perisic
Sri-Lanka
Sri-Lanka national handball team de Uberto Pasolini
Taïwan
Parking de Chung Mong-Hong
Turquie
La boite de Pandore de Yesim Ustaoglu
Par ses multiples crises tout au long du siècle, le cinéma britannique pose la question de l'existence d'un cinéma national.
Il a, dès l'origine, souffert de la concurrence étrangère, française jusqu'en 1914, puis américaine – cette dernière en raison de la communauté de langue et de la force économique que l'industrie de Hollywood a su développer depuis les années 1920. Dans les années 1950, François Truffaut n'hésitait pas à écrire : « Dire que le cinéma anglais est mort serait excessif puisque aussi bien il n'a jamais existé. Le film anglais actuel est incolore, inodore et sans saveur particulière. » Pourtant, dix ans plus tard, en 1966, il ira réaliser son Fahrenheit 451 à Londres, et en langue anglaise. Il est vrai qu'entre-temps la génération des « jeunes gens en colère » avait donné des films dont on pouvait difficilement dire qu'ils étaient sans saveur (Samedi soir et dimanche matin, de Karel Reisz, 1960 ; Un goût de miel, de Tony Richardson, 1961). Et dans les années 1980, les longs métrages des réalisateurs issus de la télévision (Peter Greenaway, Kenneth Loach, Stephen Frears, Terence Davies et bien d'autres) ont spectaculairement renouvelé la production britannique.
S'il est un moyen d'expression peu considéré par l'intelligentsia britannique – qui lui préfère le théâtre ou la littérature –, le cinéma anglais a donc permis la naissance, à intervalles réguliers, d'oeuvres fortes et originales.
Of time and the city de Terence Davies
Boy A de John Crowley
Fish tank de Andrea Arnold
Somers town de Shane Meadows
Toute l'histoire de mes échecs sexuels de Chris Waitt
La comédie italienne est née dans les années 1950 et 1960.
S'il est un genre cinématographique qui a rendu compte, de manière crédible, des changements en cours dans la société italienne au cours de la seconde moitié du XXe siècle, c'est véritablement celui de la comédie : auteurs et spectateurs font partie du même monde, de la même classe (la petite et moyenne bourgeoisie), les personnages représentés sont tellement ordinaires, tellement « véritables » et le cinéma les traite avec indulgence.
Le fanfaron de Dino Risi
Les monstres de Dino Risi
Ces messieurs dames de Pietro Germi (Palme d'or 1966)
Affreux, sales et méchants de Ettore Scola
de Pietro Germi
Joséphine (court-métrage) de Isabelle Balducchi
Simone Forti, ou l'état d'enchantement de Isabelle Balducchi
L’association Apatapela, basée à Marseille, travaille depuis 2004 à faire connaître l’actualité sociale, politique et spirituelle des peuples premiers d’Amérique. En partenariat avec le festival Présence Autochtone de Montréal et le Festival International de Vidéo et Cinéma Indigène de CLACPI, elle a conçu les rencontres cinématographiques Abya Yala.
Deux films seront présentés :
Le peuple invisible de Richard Desjardins et Robert Monderie
A cielo abierto de Carlos Perez et Jose Luis Matias
Les plus jeunes ont aussi leur programmation. Plusieurs films d’animation ou de fiction seront projetés durant les douze jours de festival. Il y en aura pour les tout petits et pour les plus grands.
A noter : Le spectacle de marionnettes Le tour de magie aura lieu après la projection de L’ours et le magicien.
L’ours et le magicien de Dace Riduze, Evalds Lacis et Maris Brinkmanis suivi d'un spectacle de marionnettes : Le tour de magie
Niko le petit renne de Michael Hegner et Kari Juusonen
Nocturna, la nuit magique de Victor Maldorado et Adria Garcia
Piano forest de Masayuki Kojima Shûhei
La soirée Bollywood est désormais une institution au sein du Festival d’automne !
Cette année encore, l’amour triomphera du mal, des complots, des secrets dissimulés !
Saawariya de Sanjay Leela Bhansali
A noter : Un buffet indien sera proposé à l’entracte
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