En trois films, Jean Dujardin a imposé un nouvel agent secret, à mi-chemin entre le commissaire Clouzeau et James Bond. L’inculture d’Hubert Bonnisseur de la Bath, son machisme, son incompréhension de tout ce qui l’entoure, ses gaffes et ses pataquès sont autant de coups d’éclat. On se souvient de son « coup de polish », de son admiration pour René Coty, de sa façon très personnelle de parler aux femmes…
>> 130 répliques disséquées. Entre les références historiques et les blagues à deux balles, les erreurs de jugement et les convictions aveugles, les expressions désuètes et les pointes d’argot, du Caire à Rio, en passant par l’Afrique noire, c’est un voyage au pays des mots dans lequel nous entraîne OSS 117.
– Comment est votre blanquette ?
– La blanquette est bonne.
– La blanquette est bonne.
– Et comment appelez-vous un pays avec un président qui a les pleins pouvoirs, une police secrète, une seule chaîne de télévision et dont toute l’information est contrôlée par l’État ?
– J’appelle ça la France, Mademoiselle, et pas n’importe laquelle : la France du général de Gaulle !
Par Philippe Durant, auteur de la série des « Petit Audiard », et des biographies d’Alain Delon et de Michel Audiard.
– J’appelle ça la France, Mademoiselle, et pas n’importe laquelle : la France du général de Gaulle !
Par Philippe Durant, auteur de la série des « Petit Audiard », et des biographies d’Alain Delon et de Michel Audiard.
| Suivant > |
|---|
