Ciné-Zoom

  • Increase font size
  • Default font size
  • Decrease font size

JULIE GAYET

Index de l'article
JULIE GAYET
Ils parlent d'elle
Sa filmographie
Toutes les pages

JULIE GAYETActrice, Productrice française

Née le 3 juin 1972 à Suresnes, d'un père chirurgien et d'une mère antiquaire, Julie Gayet se passionne très tôt, pour le monde du spectacle en se lançant notamment dans le chant lyrique à 8 ans. C'est à 14 ans que l'artiste s'oriente finalement vers la comédie. Elle a été formée au cours d'art dramatiques de Claudine Gabay et au cours de Tania Balachova et Véra Gregh. Elle décide 3 ans plus tard de partir pour Londres suivre les cours de Jack Waltzer, membre de l'Actor's Studio.Elle suit aussi des cours à l'école du cirque Fratellini. Elle fait preuve d'éclectisme en étudiant en parallèle les arts du Cirque, les Sciences Humaines ou encore l'Histoire de l'Art à l'Université.


JULIE GAYET
Elle débute au théâtre en 1993 dans une adaptation semi-amateur de "Preparadise Sorry Now" de Rainer Werner Fassbinder, mise en scène par Julien Collet et où elle donne la réplique à un certain Benoît Magimel, plus expérimenté qu'elle. Après un an de figuration dont "bleu" de Krzysztof. Kieslowski, elle obtient son premier vrai rôle en 1993, celui d'une séduisante funambule, dans "A la belle étoile" d'Antoine Desrosières.

JULIE GAYET
Agnes Varda la choisit ensuite pour incarner l'étudiante qui part à la rencontre de Monsieur Cinéma, alias Michel Piccoli, dans "Les Cent et une nuits", hommage malicieux au 7e Art centenaire. On découvre alors une actrice complète, réputée pour son naturel désarmant. En 1996, le grand public la découvre dans la comédie à succès de Dominique Farrugia "Delphine 1 - Yvan 0". L'année suivante "Select Hotel" de Laurent Bouhnik lui vaut la reconnaissance du métier avec l'obtention du prix Romy Schneider et le prix de la Meilleure actrice européenne.


Avec une grande légèreté et une apparente facilité, Elle diversifie son jeu et offre une profonde crédibilité à ses rôles. Pour preuve, ses interprétations nuancées d'une junkie, d'une lesbienne dans "Pourquoi pas moi?" de Stéphane Giusti, d'une aveugle dans "Ma caméra et moi" de Christophe Loizillon, une coiffeuse amoureuse de l'indécis Pascal Greggory dans "La Confusion des genres" de Ilan Duran Cohen en 2000, sont plébiscitées pour la justesse de leur ton. Son charme ingénu séduit Benjamin Biolay pour lequel elle tourne dans le clip La Merco Benz.

Elle sait allier espièglerie et sensibilité, elle participe volontiers à des premiers films comme "Clara et moi" ou deuxièmes films "La Turbulence des fluides" de Manon Briand. Mais elle tourne aussi avec des réalisateurs de renom, Michel Deville dans "Un monde presque paisible" en 2002, Jean-Pierre Limosin dans Novo ou Patrice Leconte dans "Mon meilleur ami" aux côtés de Daniel Auteuil et Dany Boon. En 2003 elle se marie avec le scénariste et réalisateur argentin Santigao Amigorena avec lequel elle a deux enfants Tadéo (1999) et Ezéchiel (2000).
JULIE GAYET
En 2004, elle part en Écosse tourner la love story gothique "A woman in winter" de de Richard Jobson puis en Algérie pour "Bab el web" de Merzak Allouache. En 2006 elle est à l’affiche du "Lièvre de Vatanen" où elle incarne Olga. On la retrouvera en 2007 dans le premier long métrage de Stephan Carpiaux "Les Fourmis rouges" avec Déborah François, Arthur Jugnot et Frédéric Pierrot. Elle interprète Emilie dans la comédie très française, "Un baiser s'il vous plaît" d'Emmanuel Mouret aux coté de Virginie Ledoyen et à Michäel Cohen. Elle participe au film collectif "Enfances" regroupant six courts métrages sur les jeunesses de six grands réalisateurs, ou elle joue la mère de Fritz Lang.
Julie Gayet
En 2009, fait partie du jury de la section Un Certain Regard du Festival de Cannes. Elle prête sa voix à l'un des personnages du film d'animation "Kérity la maison des contes" de Dominique Monféry. Elle devient ensuite une belle-sœur un peu coincée dans la comédie "Pièce montée" de Denys Granier-Deferre. L'année suivante, elle fonde sa société de production Rouge International et produit "Huit fois debout" le premier film long métrage de Xabi Molia, avec lequel elle avait tourné le court "S'éloigner du rivage", elle est aussi l'actrice principale, puis pour le film "Les Secrets" de Raja Amari.

Elle passe ensuite du thriller "Sans laisser de traces" de Grégoire Vigneron aux côtés de Benoît Magimel, au film pour enfants, "L' Apprenti Père Noël" de Luc Vinciguerra, pour lequel elle prête sa voix. En 2011, elle passe par la télévision et apparaît dans le téléfilm "V comme Vian"’ en tant que première épouse de l’écrivain. Elle se tourne plus vers la comédie romantique entre "L’apparition de la Joconde" de François Lunel et "L' Art de séduire" de Guy Mazarguil, dans lequel Mathieu Demy tombe amoureux d'elle, dix sept ans après leur première collaboration sur "A la belle étoile". Elle fait parti du jury Cinéfondation présidé par Michel Gondry au 64e festival de Cannes, en 2011.

En 2012, on découvre Julie Gayet dans le film familiale de Philippe Lellouche, "Nos Plus Belles Vacances", puis l'année suivante elle est à l'affiche d'"After", dans lequel elle tombe sous le charme de Raphaël Personnaz.

 


 

Julie Gayet

Julie Gayet

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Julie Gayet

 

 Julie Gayet

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Julie Gayet

JULIE GAYET

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Julie Gayet

 

Julie Gayet

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Julie Gayet

Julie Gayet

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 JULIE GAYET

 

 Michel Gondry et Julie Gayet

 

 

 

 

 

 

 

JULIE GAYET

 

 

JULIE GAYET

 

 

 

 

 

 

 

 Julie Gayet

 

 

 

 

 

  Photos: Thierry Vaslot (A.C.R.) et Gérard Chargé (A.C.R.)

 

 

 



 

Recherche Google

Publicité